On croyait que le Québec était à l’avant-garde
de la féminisation de la langue française. Ce n’est plus le cas. La France l’a
largement devancé.
Sur une liste de diffusion à laquelle je
suis abonné on vient de me communiquer que « GLAD! Revue sur le langage, le genre, les
sexualités débraye à son tour, et entre
dans le mouvement de grève des revues. » Car, précise-t-on, « une
revue en grève dégage du temps pour ses différent·es participant·es :
la suspension des activités de recherche est un excellent outil pour permettre
aux travailleureuses de l'ESR de libérer du
temps pour s'engager et militer contre le sabotage des retraites. » On lit
aussi : « Nous invitons les auteurices,
les différent·es contributeurices
et lecteurices de la revue à participer à la
mobilisation en cours. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire