samedi 19 septembre 2020

32 linguistes contre l’écriture inclusive

 

  

« Si des universitaires militants ne sont pas capables d’appliquer leurs propres préceptes, qui peut le faire ? »

 

Marianne publie une tribune contre l’écriture inclusive : on pourra la lire en cliquant ici.

Extrait :

 

En réservant la maîtrise de cette écriture à une caste de spécialistes, la complexification de l’orthographe a des effets d’exclusion sociale. Tous ceux qui apprennent différemment, l’écriture inclusive les exclut : qu’ils souffrent de cécité, dysphasie, dyslexie, dyspraxie, dysgraphie, ou d’autres troubles, ils seront d’autant plus fragilisés par une graphie aux normes aléatoires.

 

Je profite de l’occasion pour signaler qu’un professeur retraité de l’Université de Montréal, Guy Laflèche, a lui aussi publié un essai (que je n’ai pas encore lu) contre l’écriture inclusive : L’Office québécois de la langue française et ses travailleuses du genre. Lionel Meney en a fait un compte rendu dans son blog Carnet d'un linguiste.

 

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