lundi 24 février 2014

Jacques Godbout sur la langue



J’ai aussi comme défaut de penser que l’excuse de la colonisation anglaise, pour justifier la pauvreté du langage au Québec, ne tient plus cinquante ans après la Révolution tranquille.

– Jacques Godbout, « Du quasi-monopole Cornellier », Le Devoir, 24 février 2014

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