Ce matin, deux textes dans Le Devoir sur le vocabulaire anglicisé de certaines disciplines des Jeux olympiques de Pékin : clic et clic. En passant, je ne suis pas la mode et je continue d’écrire le nom de la ville selon la tradition française plutôt que Beijing. S’il fallait aller au bout de la logique, écrira-t-on beijingois pour désigner une race de chiens ? Imitera-t-on l’inconséquence de l’anglais qui dit Mumbay pour l’ancienne ville de Bombay mais qui continue d’utiliser Bollywood pour désigner le cinéma indien ?
Il est symptomatique de ce qu’est devenu l’Office québécois de la langue française que l’un des auteurs de ces textes n’en mentionne même pas le nom tandis que l’autre y fait à peine allusion. De sorte que mon texte « La terminologie française aux JO de PyeongChang » conserve toute son actualité. Tout comme celui sur les JO d’été de Tokyo (« JO de Tokyo : le GDT hors jeu »).
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