À la suite de la chronique
de Jean-François Lisée sur l’étude Langue de l'espace public au Québec en
2022, l’Office québécois de la langue française a apporté une rectification :
Contrairement
à ce qui a été mentionné par l'Office à la suite de la sortie de l'étude, la
pondération a été effectuée à partir des données du recensement de 2021 et
non à partir de celles du recensement de 2016. L'échantillonnage, quant à lui,
a bel et bien été effectué sur la base du recensement de 2016.
Mais cela ne répond pas à
toutes les questions que pose cette étude, en particulier aux critiques que j’ai
faites dans le billet précédent.
En outre, que dire du taux
de non-réponse ? Il est de 77 % dans l’enquête de 2022 et de
54 % dans celle de 2016. Cela n’affecte-t-il pas la validité des
résultats et des comparaisons ? Est-ce pour cette raison que l’étude parle d’un échantillon « assez
représentatif » ?
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