Le
28 octobre, rupture d’une conduite d’eau principale à Québec, présentée dans plusieurs
médias comme un « bris d’aqueduc ». Le lendemain, sur Radio-Canada Première, j’entends le chef
d'antenne Jacques Beauchamp parler d'un « bris d'eau à Québec ».
Évidemment, il fallait s'y attendre, « bris d'eau » est une traduction littérale
de l'anglais. Voici ce que j'ai trouvé sur Internet :
Water breaks are common on older
infrastructure due to ground shifting or deterioration of the pipe material and
fittings. (site de la ville de Lloyminster située à cheval sur la frontière de l’Alberta et de la Saskatchewan)
Boil Water After a Water
Break (site de la ville d’Athens en Ohio)
Sunset Boulevard reopens after huge UCLA water
break (titre du Washington Post, 4 août 2014)
Toujours des traductions littérales! C'est plus facile à faire. Pas d'efforts.
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