On
apprenait la semaine dernière que le gouvernement du Québec, après des années
de tergiversations, avait finalement pris une décision en ce qui concerne les
marques de commerce en anglais affichées comme noms d’entreprise : les entreprises
devront s’assurer que le français occupe une « présence suffisante »
sur leur façade. Dans son article « Le retour du mouton » (Le Devoir, 10 mai 2016), le
chroniqueur Michel David a bien résumé l’évolution des exigences en matière de
francisation de l’affichage :
De la règle de l’unilinguisme français, on est
d’abord passé à la « nette prédominance » et maintenant à la
« présence suffisante ». Quelle sera la prochaine étape ? Le
minimum symbolique ?
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