vendredi 17 juillet 2020

Cocasses coquilles


Dans sa première chronique gastronomique depuis le déconfinement, Le Devoir de ce matin nous offre ces perles :

Mais arrivons-en au point qui nous intéresse le plus : les vives. Pour l’occasion, l’invité est un allié de longue date en termes de découvertes culinaires. Ce repas avec visière et Purell devait se retrouver dans nos anales communes ! 


On aura compris que vives est mis pour vivres (à moins qu’il ne s’agisse d’un goût particulier pour les bêtes vivantes ?). Quant à anales, s’agirait-il d’un lapsus freudien ? La chroniqueuse aurait-elle apprécié son repas beaucoup moins que ce qu’elle prétend, son inconscient révélant sa véritable évaluation de ce qu’elle a mangé ?

Note du 20 juillet :
Les coquilles ont été corrigées sur le site Internet.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire