Dans sa première chronique gastronomique
depuis le déconfinement, Le Devoir de
ce matin nous offre ces perles :
Mais arrivons-en au point qui nous intéresse le
plus : les vives. Pour l’occasion, l’invité est un allié de
longue date en termes de découvertes culinaires. Ce repas avec visière et
Purell devait se retrouver dans nos anales communes !
On aura compris que vives est mis pour vivres
(à moins qu’il ne s’agisse d’un goût particulier pour les bêtes
vivantes ?). Quant à anales, s’agirait-il
d’un lapsus freudien ? La chroniqueuse aurait-elle apprécié son repas
beaucoup moins que ce qu’elle prétend, son inconscient révélant sa véritable
évaluation de ce qu’elle a mangé ?
Note du 20 juillet :
Les coquilles ont été corrigées sur le site Internet.
Les coquilles ont été corrigées sur le site Internet.
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